Mathilde Gomas

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Inspiration

Une sélection subjective de petits trésors : des interprétations à couper le souffle, des idées surprenantes, des citations inspirantes & de brillants collègues.

"Mais lorsque le souffle est suspendu, alors nous quittons le temps pour entrer dans une béatitude ineffable, où l'expérience esthétique transcende toute raison et où notre personne se tait le temps d'un instant. De fait, plonger dans une oeuvre d'art, c'est abandonner son être tout entier à un voyage (...)."

'Le souffle coupé', Iris Tinguely (2023)

Edouard Vuillard, vers 1930.
'Bouquet de soucis sur la cheminée'
Pastel sur papier beige

"Dimmi, dimmi se mai fu fatta cosa alcuna."

"Dites-moi, dites-moi, a-t-on jamais terminé quoi que ce soit ?"

Leonardo da Vinci dans ses carnets

MIND YOUR MIND

Un mur à Berlin

"Plus tost mourir, que changer ma pensée."

Clément Marot, L’Adolescence Clémentine, 1538.

Odilon Redon, 'Tête d'Orphée'
Entre 1840 & 1916, huile sur toile

Inspiration pour la tête sculptée de ma viole réalisée par Judith Kraft

Invitation, by Andert Tysma
Made by Mirthe Mosterman nsc

Liam Byrne présente 5 pièces du répertoire pour viole Lyra.

'On ne peut pas changer tout ce qu'on affronte, mais rien ne peut changer tant qu'on ne l'affronte pas.'
James Baldwin, As Much Truth As One Can Bear, 1962

Giovanna Baviera chante "Doulce Memoire"

Un autre Mallory

“Nothing is more perplexing to a man than the mental process of a woman who reasons her emotions.”

Edith Wharton

Luciana Elizondo & Quito Gato jouent leur transcription de 'Manhã de Carnaval' (Luiz Bonfá)

"Ayez à l'esprit que les tirer sont les personnes qu'on aime infiniment et qui s'éloignent dans l'ombre... Tout à coup, sans qu'on s'explique pourquoi, on les a perdues de vue et on a les larmes aux paupières."

Dans le film 'Tous les matins du monde', Alain Corneau (1991)

Barbara chante ‘Je ne sais pas dire’

Hanna Schiesser & Maeva Rubli

"J'ai parfois pensé que la nature d'une femme est comme une grande maison pleine de pièces : il y a le hall, par lequel tout le monde passe pour entrer et sortir ; le salon, où l'on reçoit les visites officielles ; la salle de séjour, où les membres de la famille vont et viennent à leur gré ; mais au-delà, bien au-delà, il y a d'autres pièces, dont les poignées de portes ne sont peut-être jamais tournées ; personne n'en connaît le chemin, personne ne sait où elles mènent ; et dans la pièce la plus intime, le saint des saints, l'âme est assise seule et attend le pas de quelqu'un qui ne vient jamais."

Edith Wharton, La Plénitude de la vie, 1893